Mercredi 4 mars. Jérôme Peyrat, l’auteur toulousain du roman biographique Poing Noir consacré à Peter Norman est attendu à la Chancellerie des Universités de Paris à la Sorbonne. Il s'apprête à recevoir le Prix Seligmann contre le Racisme.
C’est donc dans une salle magnifique, ornée de dorures et de grandes fresques, réservée aux cérémonies officielles que l’écrivain, en compagnie de sa famille et de son éditeur méjannais Julien Bernard, est reçu par Monsieur Gilles Pécout, recteur chancelier de l’Académie de Paris, par Monsieur Pierre Joxe, président de la Fondation Seligmann et par les membres du jury du prix. Madame Florence Berthout, maire du cinquième arrondissement, est également présente tout comme vingt-cinq lycéens invités pour l’occasion.
Après les présentations, la cérémonie commence. Gilles Pécout rappelle l’histoire et le rôle de la Fondation Seligmann, créée par Françoise Seligmann, ancienne résistante contre le Nazisme, pour lutter contre toutes les formes de discrimination. Il salue ensuite l’écriture de Jérôme Peyrat et l’engagement de son roman biographique Poing Noir. Pierre Joxe prend ensuite la parole.
L’ancien ministre socialiste déclare que ce roman primé doit faire prendre conscience aux jeunes lycéens présents, et aux autres, de l’importance du sport et de l’engagement d’un sportif : voici une passerelle toute trouvée vers les Jeux Olympiques de Paris 2024 ! Petit clin d’oeil fait aux Editions Salto : “une maison qui se consacre entièrement à la littérature sportive”.
Enfin, le micro est confié à Jérôme Peyrat, ému et honoré. L’écrivain parle de Peter Norman, de Tommie Smith et de John Carlos, ses acolytes du podium des Jeux Olympiques de Mexico en 68 ; il cite Albert Camus et son discours de Stockholm, évoque Henry David Thoreau, apôtre de la désobéissance civile et décrit la genèse de l’écriture de son roman. Après des remerciements émouvants adressés au jury, à sa famille et aux Editions Salto “une petite maison courageuse et passionnée aux moyens modestes”, il s’adonne à une séance de dédicaces. Tandis que les convives partagent une coupe de champagne et quelques petits fours...
C’est donc dans une salle magnifique, ornée de dorures et de grandes fresques, réservée aux cérémonies officielles que l’écrivain, en compagnie de sa famille et de son éditeur méjannais Julien Bernard, est reçu par Monsieur Gilles Pécout, recteur chancelier de l’Académie de Paris, par Monsieur Pierre Joxe, président de la Fondation Seligmann et par les membres du jury du prix. Madame Florence Berthout, maire du cinquième arrondissement, est également présente tout comme vingt-cinq lycéens invités pour l’occasion.
Après les présentations, la cérémonie commence. Gilles Pécout rappelle l’histoire et le rôle de la Fondation Seligmann, créée par Françoise Seligmann, ancienne résistante contre le Nazisme, pour lutter contre toutes les formes de discrimination. Il salue ensuite l’écriture de Jérôme Peyrat et l’engagement de son roman biographique Poing Noir. Pierre Joxe prend ensuite la parole.
L’ancien ministre socialiste déclare que ce roman primé doit faire prendre conscience aux jeunes lycéens présents, et aux autres, de l’importance du sport et de l’engagement d’un sportif : voici une passerelle toute trouvée vers les Jeux Olympiques de Paris 2024 ! Petit clin d’oeil fait aux Editions Salto : “une maison qui se consacre entièrement à la littérature sportive”.
Enfin, le micro est confié à Jérôme Peyrat, ému et honoré. L’écrivain parle de Peter Norman, de Tommie Smith et de John Carlos, ses acolytes du podium des Jeux Olympiques de Mexico en 68 ; il cite Albert Camus et son discours de Stockholm, évoque Henry David Thoreau, apôtre de la désobéissance civile et décrit la genèse de l’écriture de son roman. Après des remerciements émouvants adressés au jury, à sa famille et aux Editions Salto “une petite maison courageuse et passionnée aux moyens modestes”, il s’adonne à une séance de dédicaces. Tandis que les convives partagent une coupe de champagne et quelques petits fours...
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