"Un homme est mort qui n'avait pour défense que ses bras ouverts à la vie ...
Un homme est mort qui n'avait d'autre route que celle où l'on hait les fusils ..."
Un homme est mort qui n'avait d'autre route que celle où l'on hait les fusils ..."
Une trentaine de Méjannais étaient réunis, sous un ciel assez menaçant, comme chaque année au monument aux morts pour se souvenir, commémorer, rendre hommage ... et réfléchir.
Quelques enfants de Méjannes au côté des porte-drapeaux ... symbole ou espoir du "plus jamais ça" (expression chère aux anciens combattants).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire