Les contrats d’adduction de l’eau potable avec la Saur et d’assainissement avec Veolia, en vigueur depuis trois ans, seront renouvelés pour une période de quatre ans à compter de septembre 2022. Toujours dans la domaine de l’eau, mais concernant la piscine cette fois, le conseil a décidé de renouveler pour 2022 la subvention exceptionnelle versée en 2021 à Espace Gard découvertes, gestionnaire de l’équipement, pour le fonctionnement de la piscine. Nouveauté cette année, cette subvention, qui s’élève à 6 000 euros, sera assortie d’une contrepartie : la fourniture par Espace Gard découvertes de tickets d’entrée à la piscine pour un montant total de valeur équivalente. En conséquence, la mairie fournira à chaque habitant permanent de Méjannes-le-Clap trois tickets d’accès gratuit à la piscine valables pendant toute la saison estivale 2022 d’ouverture de la structure.
Anne-Marie Renard-Debaty, adjointe en charge du scolaire et du péri-scolaire, a fait part du bilan très positif de l’Espace jeunes à destination des ados expérimenté pendant les dernières vacances de printemps. Cet espace de loisirs organisés a permis à 12 jeunes Méjannais de 11 à 17 ans de bénéficier d’une palette variée d’activités pendant une semaine. Après le bilan fait avec les jeunes eux-mêmes, il a été décidé de poursuivre l’expérience au mois de juillet avec un planning aménagé, réservé aux ados de Méjannes-le-Clap, y compris ceux qui vont intégrer le collège à la rentrée prochaine, pour favoriser leur adaptation. Une subvention de 2 840 euros a été votée pour compléter le financement des activités par les familles.
Les taux de la taxe de séjour, dont le produit est reversé à 100 % pour financer le fonctionnement de l’office de tourisme municipal, ont été votés sans changement pour 2023 et identiques à ceux des autres communes de l’intercommunalité. Le maire n’a pas manqué de rappeler que ces taux sont inchangés depuis 2017.
Toutes les décisions ont été prises à l’unanimité sauf une, qui a suscité discussion et partage des avis parmi les conseillers. Il s’agissait de savoir que faire d’un appartement communal récemment libéré par son locataire : le vendre en l’état ou le rénover pour le louer ou en faire un logement d’urgence en cas de nécessité sociale. Les conseillers ont décidé, à la majorité, de sa mise en vente en l’état.
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