C'est 2 mois après son ouverture, alors que tout commence à bien se roder , que les époux Reille ont reçu amis et clients pour une
inauguration tout en chaleur et dégustation !
Philippe Reille a ouvert sa Boucherie du Clap, il y a deux mois sur la place aux Herbes de Méjannes-le-Clap. Un nouveau magasin qui complète, avec la supérette Utile et le bar-tabac-presse le Dolmen, l'offre des commerces permanents du village.
Voici l'interview que Fred Bernard a réalisé pour Midi Libre
Vous avez 42 ans. Avant d'arriver à Méjannes-le-Clap, quel a été votre parcours ?
J'ai fait mon apprentissage de boucher chez Bompard à Uzès. J'ai travaillé à Caissargues. Plus récemment j'étais chef du rayon boucherie au Carrefour de Saint-Quentin-la-Poterie, à la tête d'une équipe de 7 bouchers et apprentis. Il y a 4 ans, j'ai subi un grave accident de la route. Il a été question un temps de m'amputer d'une jambe. De traitements en séances de kiné, je n'arrivais pas à m'en sortir avec ma béquille jusqu'au jour où je suis rentré dans un centre de rééducation pour sportifs de haut niveau à Hyères. On m'a tout de suite dit : »La kiné de papi, ça va un temps. La béquille, vous n'en avez plus besoin ». Et là j'en ai bavé. Huit heures de sport par jour, pendant 95 jours.
Pourquoi Méjannes-le-Clap ?
J'ai toujours été un bosseur. Catherine, ma femme, m'a dit : » Tu as des doigts en or, tu dois rebondir ». Plutôt que de louer un fonds, nous avons préféré créer quelque chose. Compte tenu de mon handicap, je cherchais un endroit plutôt calme pour travailler sans stress. Ici, tout est paisible, même les habitants du village paraissent en vacances . Le local de la boucherie était occupé par un salon de thé-crêperie. Il a fallu faire table rase et créer de toutes pièces chambre froide, atelier, vitrines réfrigérées, évacuation des eaux, le tout aux normes d'hygiène en vigueur.
Vous avez déjà créé un emploi, comptez vous encore vous développer ?
Ce jeune Méjannais, Tanguy Charley, est venu me voir plusieurs fois pendant l'installation de la boucherie. Il était très motivé. Je l'ai testé pendant un mois et je viens de lui signer un contrat d'apprentissage de 2 ans. Avec ma jambe, je ne peux pas assurer seul des journées de 11 à 12 heures de travail.
Je pratique la boucherie traditionnelle, en partant des 1/2 carcasses que j'achète moi-même. J'ouvre toute l'année, j'ai confiance en la qualité de mes produits et je pratique des prix très compétitifs. Donc, pour ce qui est du développement, je laisse faire le bouche à oreille.
Pendant vos loisirs, vous pratiquez un sport inhabituel et peu connu.
Avant mon accident, je faisais partie de l'équipe de France de lancer de poids de mer. Je pratique toujours. A l'aide d'une canne à lancer, les poids, de 100 à 175g, sont lancés jusqu'à plus de 240 mètres.
Maison Reille (Boucherie du Clap) 20, place aux Herbes à Méjannes-le-Clap. Tel. 04 34 01 57 10 .
La réservation est conseillée : 04 66 30 90 08
C'est une nouvelle recrue que le centre de secours de Méjannes le Clap a accueilli récemment. 
Voici un communiqué que nous relayons bien volontiers !
Après neuf jours d'exposition des œuvres des 26 artistes invités, de démonstrations quotidiennes, de stages, de rencontres amicales et d'échanges fructueux, le 3ème Festival d'aquarelle de Méjannes-le-Clap s'est achevé par le traditionnel concours d'aquarelle sur le motif, ouvert à tous les amateurs. Il s'agit de réaliser, sur un papier blanc remis le matin et dûment estampillé, une aquarelle sur le thème de Méjannes-le-Clap. Ce ne sont pas les sujets dignes d'intérêt qui manquent dans le village, les aquarellistes concurrents, venus parfois de loin, ont pu le découvrir : chapelle tricentenaire, place ombragée, vieilles maisons du vieux village, capitelle, berges et gorges de la Cèze, arbres remarquables, jardins fleuris. Les œuvres sont rendues à 16h. Le jury délibère et à 18h, au cours d'une cérémonie amicale les lauréats sont honorés par Nicole Finiels et Jacqueline Dumas, elles-mêmes aquarellistes et organisatrices du festival. Martial Roche d'Avignon reçoit le prix du Festival et le prix du jury est attribué à Christine Chanteperdrix de Crest (Drôme). Tous les autres concurrents, parmi lesquels les Méjannaises Christiane Jarosz et Evelyne Ramlot, reçoivent aussi un lot de matériel pour artistes. Les au revoir fusent et tout le monde se dit à l'année prochaine.
C'est 2 mois après son ouverture, alors que tout commence à bien se roder , que les époux Reille ont reçu amis et clients pour une inauguration tout en chaleur et dégustation !
Pourquoi Méjannes-le-Clap ?
Vous avez déjà créé un emploi, comptez vous encore vous développer ?
Le concert du samedi soir, offert en plein air à la population par les militaires, est devenu un must de l'année méjannaise. Samedi 24 juin à 21h, c'est le bagad du Centre d'instruction naval de Saint-Mandrier, près de Toulon, qui donnera l'aubade au village, sur la place aux Herbes. Cette fanfare n'est pas une formation de professionnels. Elle est composée d'une trentaine de personnes, toutes volontaires, issues des quatre coins de la France, qui, en plus d'être des marins professionnels, élèves ou instructeurs, ont en commun la passion pour la musique celtique. Binious et tambours seront au rendez-vous pour des marches, des danses et des ballades.
« L'action se déroule dans une colonie de vacances d'où tout portable ou connexion internet est banni » précise la productrice, « Joséphine aidera un trio d'adolescents à redécouvrir les valeurs humaines et à se trouver eux mêmes au-delà de la superficialité des rapports virtuels en 2.0. Nous y ajoutons pour la première fois quelques ingrédients du thriller moderne, suspense et intrigue parallèle. »
Aujourd’hui, c'était la premier jour de tournage de ce nouvel épisode. Juste après une première répétition et avant le clap de la première prise, Mimie Mathy souhaite la bienvenue aux nouveaux techniciens et un bon tournage à toute l'équipe. La bienveillance du personnage rejaillit sur l'ambiance du tournage avec des équipes techniques bien rodées, cela se sent.
Enfin, le traditionnel enchaînement des instructions lancées d'une voix forte : « On démarre au noir. Silence, s'il vous plait. Moteur demandé. Clap. Tourne. Action ». Le silence est impressionnant. Dans l'immensité de la grotte, les dialogues des comédiens paraissent murmurés. Puis après la scène : « Coupe. Très joli. Merci ».
La pyrale du buis est bien partie pour ravager tous les buis d’Europe. Ce papillon nocturne du nom de Cydalina perspectalis, paraît très bien adapté à nos climats et prolifère sans prédateur connu à ce jour. Son régime alimentaire est le buis mais dans son pays d’origine on l’a déjà vu attaquer certaines espèces de fusains et de houx donc soyez très vigilant.
La chenille mange le buis et y fait des fils de soie. Elle ressemble beaucoup à la piéride du choux. L’adulte se présente sous forme d’un papillon nocturne de forme triangulaire, couleur blanc argenté bordé de noir, d’environ 30 à 40 mm d’envergure. On peut parfois en trouver de tout brun. Il tient ses ailes à plat quand il est au repos et les redresse lorsqu’il est en activité ou dérangé.
